L'historique du commerce international: 2010

lundi 15 novembre 2010

Les sources qui ont été utiles tout au long de la création de ce blogue

lundi 1 novembre 2010

Le commerce du café

Pour la majorité des gens, il est indispensable de prendre, ne serait-ce qu'une simple tasse de café pour bien débuter la journée. Le café est bu alentour du monde en entier, par exemple, saviez-vous qu'en majeure partie la production du café se fait, à plus de 70%, par de petites entreprises familiales. L'économie de l'Éthiopie est dépendante à toutes ses exportations du café, qui représente quant à elles seules plus de 50% de tous les exportations de ce pays.

Un fait intéressant: Il y a 10 ans, chaque pays producteur de café se trouvait à gagner 33% des prix totaux du café tandis qu'aujourd'hui, en 2010, les pays producteurs ne reçoivent que 10% des prix totaux du café vendus.

Il existe 5 multinationales qui ont le pouvoir et ainsi contrôle ce marché du café avec 50% des parts dont la célèbre compagnie qu'est Nestlé. Cette compagnie Suisse, d'ampleur mondiale, est en fait la plus grande compagnie en ce qui attrait à tous les aliments possibles. Elle commercialise un éventail de produits, dont des boissons, des aliments pour nous, les humains, mais également pour les animaux.

mardi 19 octobre 2010

Les exportations du textile et du vêtement

De nos jours, de plus en plus de pays font appel aux activités internationaux puisque cela engendre des coûts beaucoup moins dispendieux. De 1980 à 2004, les exportations en matière de textiles et de vêtements on eu une croissance de 358 milliard de dollars. L'Union Européenne est au premier rang des exportations tant au niveau des textiles qu'au niveau des vêtements. La Chine occupe, quant à elle le deuxième rang. Tandis que Hong Kong occupe le troisième rang. On peut donc dire que tout le commerce du textile et du vêtement se fait féroce et compétitif entre tous les pays pratiquant ce commerce. D'ailleurs en Asie on affirme qu'il y a étroite collaboration entre la Chine, le Hong Kong ainsi que Taïwan. On nomme cette collaboration comme étant « les trois Chines». Ils effectuent une répartition des tâches équitables qui se déroule comme suit; Hong Kong s'occupe de toute la commercialisation ainsi que du marketing au profit du pays qu'est la Chine. Tandis que Taïwan s'occupe de tout ce qui attrait aux textiles. Cette collaboration exprime bien pourquoi la Chine se retrouve dorénavant au deuxième rang mondial en ce qui attrait aux exportations.

Les mesures tarifaires

Jusqu'en date du début des années 1970, tous les tarifs douaniers existants faisaient en sorte que cela empêchait plusieurs entreprises d'effectuer des échanges au niveau commercial. Le but ultime des mesures ainsi que des tarifs douaniers lors des échanges commerciaux est de réduire le volume des importations de chaque pays pour ainsi augmenter la production locale. Chaque item que l'entreprise choisie d'importer se doit de payer une charge qui lui sera imposée. Il existe deux types de mesures tarifaires; les tarifs Ad Valorem et les tarifs spécifiques.

Les tarifs Ad Valorem est en fait une charge exprimée en pourcentage de la valeur du bien. De nos jours, cette mesure tarifaire est celle la plus fréquemment utilisée puisqu'elle comporte des avantages intéressants. Par contre, elle semble être complexe à administrer puisqu'il faut déterminer la valeur du bien, qui est toujours surestimée. Tandis que les tarifs spécifiques est un fait une charge fixe à débourser pour chaque unité importé. Cette mesure est de plus celle la plus équitable ainsi qu'elle protège l'inflation de chacun des pays importateurs.

Le successeur de la GATT

L'Organisation Mondiale du Commerce, également connu comme étant l'OMC, a été conçue le premier janvier 1995, elle se retrouve à succéder la GATT. L'OMC est en fait une insistance mondiale qui s'occupe de toutes négociations lors d'un échanges entre divers pays signataires. Elle s'occupe donc d'encadrer toutes les entreprises en ce qui attrait aux divers stratégies concurrentielles. Elle a comme mandat essentiel de résoudre tous les problèmes commerciaux entre les pays signataires des échanges internationales. Ce contrôle permet donc une plus grande ouverture dans les marchés internationaux puisque tous les pays connaissent le bon fonctionnement des échanges ce qui provoque inévitablement une croissance constante de l'économie mondiale. On pourrait dire que cette organisation est une première étape vers une meilleure régulation de l'économie mondiale puisqu'en étant contrôlée comme elle l'est en ce moment, cela permet une meilleure compréhension pour les entreprises qui veulent débuter les activités à l'étranger.

dimanche 17 octobre 2010

L'accord général sur les tarifs douaniers et le commerce

L'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce, aussi appelé GATT, a comme principal but d'harmoniser toutes les politiques douanières que l'on retrouve en cas d'échange entre deux ou plusieurs pays. Ce qui veut donc dire que ce traité favorise tous les pays signataires de l'échange en question. Il fut signé le 30 octobre 1947, par contre, n'entra en vigueur que l'année suivante, soit en janvier 1948. Il n'est pas seulement avantageux pour les pays signataires de l'échange, mais également pour les consommateurs finals des produits. En ce sens, je veux donc dire qu'il a également comme but de faire diminuer les coûts de marchandises pour les consommateurs. Lors de l'entente entre les divers politiques douanières des pays signataires, la GATT s'engageait à privilégier les ententes à l'amiable par le processus de conciliation. Ce qui veut dont dire que si l'un des pays n'étaient pas satisfait de l'entente, on laissait la décision finale de l'entente venir d'un jury. Si l'un des pays ne se conformait pas au règlement final, on devait donc prendre des mesures de rétorsion.

lundi 4 octobre 2010

Création d'un traité international

Un traité en temps que tel est un contrat dans lequel on énonce plusieurs domaines appartenant aux droits internationaux. En ce qui attrait à l'implantation d'un nouveau traité il faut premièrement négocier avec chaque États. Par la suite, il faut adopter un texte officiel au traité. Ceux et celles étant présents lors de la négociation votent pour l'adoption du texte selon les règles. Par la suite l'étape de l'authentification sert en fait à tous les États présents lors de la négociation du début à relire le texte officiel du traité et ainsi continuer le processus. La quatrième étape se trouve à être la signature du traité dans lequel les pays signataires s'engagent à respecter le contenu. La cinquième étape se trouve à être la ratification qui consiste au Parlement qu'à ne donner le feu vert pour mettre en vigueur le traité. Comme il se doit, le traité entre en vigueur à la suite du feu vert donné par le Parlement. L'entrée en vigueur doit inévitablement respecter la date d'entrée décidée lors des négociations du tout début. Pour terminé, l'adhésion à ce traité permet à tous les pays procédant à des échanges internationaux d'effectuer à la lettre ce que le traité leur impose.

L'évolution du droit commercial

Le droit commerciale remonte, il y a des siècles, soit au moment de l'antiquité vers 1730 avant Jésus-Christ. Il prend notamment de plus en plus d'ampleur dans la communauté Romaine puisqu'on voit l'apparition d'une idéologie nommée le corporatisme. Cette idéologie permet à de multiples personnes, se situant dans des classes sociales différentes, à défendre des intérêts communs.

Le Moyen-Âge a été marqué par les foires dissimulées un peu partout dans l'Europe qui regroupaient divers commerçants dans une même ville. Pour ainsi éviter toutes sources de conflits, on voit l'apparition de multiples règles.

Tandis qu'en France lors de la Révolution Française, on voit l'apparition de la libéralisation. Toujours continuant dans ce même esprit, on voit l'apparition en 1791 du Décres d'Allarde qui proclame la liberté commerciale ainsi qu'industrielle. On peut donc remarquer que plus le temps avance, plus les temps changent.

C'est donc après la Deuxième Guerre Mondiale que l'État décide d'intervenir de plus en plus dans les échanges pour remédier à la situation croissante du libéralisme établie en France et ainsi le droit commercial devient dirigé de très près.

mercredi 29 septembre 2010

Le commerce de la fourrure

Le commerce de la fourrure a été, durant le XVII siècle, une activité prisée par plusieurs colonies. Cette activité a débuté entre les colons européens de l'Amérique du nord ainsi que les autochtones des Premières Nations. L'origine du premier contact est la cause des européens français, puisque ces derniers cherchaient inévitablement une voie de pénétration à travers le contient. C'est alors qu'ils rencontrèrent les autochtones et s’aperçurent que ces derniers avaient en possession de beaux biens tel que la fourrure. Les objets de la première transaction sont la fourrure conte des couteaux. La fourrure échangée était nulle autre celle de castor qui était, à cette époque, prisée sur tout le marché européen. À cet époque, le mode de paiement des bien état le troc. Le troc signifie donc l'échange de biens entre divers nations. Majoritairement les biens échangés étaient ceux que l'on ne pouvait retrouver dans les nations contraires. Par exemple, les amérindiens perfectionnaient la traite des fourrures, tandis que les européens perfectionnaient la conception et la création des outils. C'est alors que les échanges commencèrent à être de plus en plus intéressant.

La crise économique, bonne pour le Pérou

C'est après la crise économique que nous avons tous connus durant l'année 2008 que le pays qu'est le Pérou se montrait en pleine croissance face aux autres pays exportateurs. Seulement un an après cette crise économique, ce pays a vu son PIB haussé de 9.8%. Ceci est un exploit extraordinaire pour un pays comme le Pérou. Ce résultat est, en majeur partie, grâce à l'arrivé au pouvoir d'Alberto Fujimori en 1990. Depuis son arrivé au pouvoir,il envisage tranquillement et soigneusement les possibilités d'affaires extérieures. Il remet donc le Pérou sur la carte en ce qui attrait au commerce international. Depuis quelques années maintenant, on ne retrouve pas seulement la Chine à vouloir négocier un contrat de libre-échange avec ce pays. On retrouve également les États-Unis, le Canada, la Thaïlande ainsi que Singapour. Ceci démontre donc que les grands dans le domaine commence, tranquillement, a commercialiser avec ce pays. On peut donc dire que c'est un mal pour un bien dans le cas de ce pays, bien sûre.

Les bénéfices du droit international

Tout d'abord il est important de comprendre qu'est ce qu'un droit international. Ce terme signifie le droit qui administre toutes les relations entre les états. Si ce droit n'était pas présent lors de tous les échanges commerciaux entre les frontières on y verrait, inévitablement, un désordre s'installer entre tous les états. Ceci pourrait donc causer des guerres ou tout autre débat politique. Le droit international en question, définit exactement les responsabilités de chaque état, vendeurs ou acheteurs de produits lors des diverses transactions. Non seulement ce système attribut les responsabilités de chaque état, mais dicte, en quelque sorte, les manières dont la transaction devrait se dérouler. Ce système se fait tout à fait de manière invisible, par ailleurs, il fonctionne à merveille.

lundi 27 septembre 2010

La zone de libre échange des Amériques

La zone de libre échange des Amériques, ZLÉA, pourrait inévitablement succéder le traité qu'est l'ALENA. Tout comme cette dernière, la ZLÉA est grandement poussé par le gouvernement des États-Unis. Son but ultime consiste en fait à éliminer les nombreux droits de douanes sur de multiples produits tels que des produits manufacturiers ainsi que de protéger tous les aspects de financement faites par les entreprises. Ce traité pourrait englober tout le continent de l'Amérique autant le Nord que le Sud, à l’exception près du pays qu'est Cuba. La ZLÉA a longtemps été mal vu par les gouvernements. On s'en préoccupe puisque ce traité impliquerait une zone concernée de 800 millions d'habitants. Non seulement ce traité englobe un nombre fulgurant de personnes, mais également 40% du PIB mondial. Il était censé entrer en vigueur depuis 2005, en contre-temps, rien n'est encore réglé.

Visée mondiale en innovation

Le Canada a mit de l'avant un programme se nommant « Visée mondiale en innovation» qui sert à venir en aide aux entreprises privées Canadiennes ou bien aux Universités se trouvant partout au Canada. Non seulement ce programme aide aux entreprises en terme financier, mais également en terme de recherche de part de marché. Il sert en effet à attirer l'investissement étranger, à augmenter les parts de commercialisation Canadiennes ainsi qu'à démontrer une hausse dans les parts du marché détenu par les entreprises Canadiennes face aux pays étrangers.Ceci démonte donc à quel point le Canada est prêt à venir en aide à tout les entreprises voulant s'étendre internationalement.

mercredi 22 septembre 2010

Bonne ou mauvaise la mondialisation?

Le terme mondialisation apparaît seulement au cours des années 1980. Ce mot signifie en fait l'expansion des échanges de biens et services à l'échelle internationale plutôt que nationale. Ce phénomène s'est imposé de manière très lente au sein de la population toute entière. Nombreux sont les chercheurs qui désirent donner une définition exacte à ce phénomène. Deux conceptions sont alors mises de l'avant pour décrire ce phénomène; conception unitaire ainsi que la conception conflictuelle. Pour ce qui est du concept se dirigeant vers l'unitaire on évoque ici, la notion d'un monde uni, où il n'existe aucune frontière. Cette conception aspire donc le bien et la paix dans le monde. Tandis que du côté de la conception conflictuelle, plusieurs chercheurs affirment que la mondialisation est la source de tous les problèmes mondiaux auxquels nous faisons face. Ces problèmes sont en fait l'inégalité des cultures, la domination des plus forts, l'exploitation des plus petits ainsi que l'incompatibilité des langues, par exemple.

Ci-joint un vidéo supportant la conception conflictuelle de la mondialisation. Ce vidéo est composé de la pensée de plusieurs personnes comme vous et moi, qui explique leur propre point de vue face à cette mondialisation. Ces gens viennent de partout dans le monde, on peut donc voir une mentalité semblable face à cette situation. Je vous invite donc à jeter un coup d'oeil à ce vidéo d'une durée de 10 minutes qui est très intéressant.

http://www.youtube.com/watch?v=sk5CGbV7zuU

mardi 21 septembre 2010

Le commerce des épices

À ses débuts, le commerce mené par l'Orient, des épices, des aromates ainsi que des herbes se faisait par l'entremise de la voie terrestre. Ce n'est lors de la découverte d'une voie maritime entre l'Europe et l'Asie que leur commerce d'épice les conduis à une expansion fulgurante. À cette époque, les épices étaient non seulement utilisées pour agrémenter la nourriture, mais également utilisée dans le domaine de la médecine ainsi que dans le domaine de la parfumerie. Les Arabes sont les premiers à rapporter les épices dans le marché de l'Occident, ce qui les amène donc à être une puissance maritime à faire ce commerce sur la mer Méditerranéenne. À partir du XV siècle, nombreux sont ceux qui entrent dans ce commerce. Débutant pas les Portugais pour ensuite inciter les Hollandais et ainsi les Français à commercialiser ces épices. On comprend donc que la compétition existe depuis toujours.

lundi 20 septembre 2010

La compagnie de la Baie d'Hudson à ses débuts

La compagnie qu'est celle de La Baie d'Hudson que nous connaissons aujourd'hui est de loin celle qu'elle était en 1670. Elle est inévitablement la plus vieille compagnie du monde, encore en activité, à ce jour. À ses débuts elle exploitait le commerce de la fourrure dans la Baie d'Hudson, d'où provient son nom. En 1800, elle a obtenu un droit exclusif à la vente de la fourrure après être fusionnée avec son compétiteur de haut niveau, la compagnie du Nord-Ouest. Par la suite, la compagnie décida d'ouvrir des magasins à rayons dans les communautés éloignées ainsi que dans les villes du Sud. C'est alors, qu'elle décida de créer ses propres marques de commerces, d'où viennent les fameuses rayures de couleurs jaune, vert, bleu et rouge que nous connaissons aujourd'hui.

Ci-joint, voici un vidéo qui démontre où exactement la Compagnie de la Baie d'Hudson faisait tout son troc avec la civilisation de l'Ouest. Aujourd'hui cet endroit est possible d'accès à tous les touristes désirant s'y rendre qui se nomme Fort Langley. Je vous invite donc à jeter un petit coup d'oeil.

http://espanol.video.yahoo.com/watch/6830126/17763991

Enfin l'ALENA!

C'est en janvier 1994, que le traité qu'est l'ALENA (l'accord de libre-échange nord-américain) entre en place. Comme but premier, ce traité vise, en majeur partie, à favoriser l'accroissement des échanges commerciaux entre le Canada, les États-Unis ainsi que le Mexique. Pour ainsi arriver à cet objectif, ce traité à mit fin à tous les tarifs douaniers que les entreprises devaient payer lors du passage aux douanes. Depuis ce jour, les exportations du Canada ainsi que du Mexique se sont élevés à plus de trois fois ce qu'ils étaient avant l'arrivée de ce traité. On peut également retrouver des produits, dit grands public, se vendant dans les pays faisant partis de ce traité, des informations inscrites tant en français , qu'en anglais ainsi qu'en espagnol.

Ci-joint, un vidéo des gens de la société cubaine qui donnent leurs points de vue face à ce traité qui ne semble les aider. En fait, ce vidéo date de l'année 2009, donc récent il démontre que les gens de la population qui travaille dans les firmes d'agriculture, par exemple, voudraient changer certains termes du traité de l'ALENA.

http://infosmexique.com/2009/07/26/vers-une-renegociation-de-l%E2%80%99accord-de-libre-echange-nord-americain-alena/

Le fonctionnement de l'échange au tout début!

Au moment de l'Antiquité, l'échange de biens se faisait d'une manière très simple. Les vendeurs étalaient toute la marchandise sur le rivage et regagnait ensuite leur bateau. La manière, très efficaces, d'attirer les acheteurs au rivage était d'allumer une multitude de feux pour ainsi créer un nuage de boucane. Arrivé au rivage, les acheteurs étalaient de l'or sur le rivage et partaient sans même les biens. C'était, à ce moment, le mode de paiement. Si les vendeurs trouvait ce montant d'or insuffisant, ils restaient sur leur bateau à attendre une meilleure offre. Donc les acheteurs revenaient déposer une plus grande quantité d'or et repartaient encore. Si celle-ci était suffisante pour les vendeurs, ils prenaient l'or et quittaient le rivage. Ne voyant plus les vendeurs près du rivage c'est au tour des acheteurs de venir chercher leurs biens. Personne n'avait droit d'apporter quoi que ce soit à leur domicile sans d'abord l'accord de l'échange.

Un fait intéressant!

Saviez-vous que le volume des ventes du commerce international a plus que doublé depuis 1950? Il est effectivement 14 fois plus élevé de ce qu'il était avant. On peut donc affirmer que les échanges commerciaux ont prit beaucoup d'ampleur depuis maintenant 60 ans. Cette hausse démontre à quel point les entreprises ont dû prendre connaissance de ce qui se trouvait ailleurs dans le monde et d’arrêter de ne voir que ce dont leur marché national avait à leur offrir. Les pays développés ainsi que les pays industrialisés ont été les seuls, par contre, a réellement en bénéficier, puisque cela n'a fait qu'accroître leur revenu annuel. Comme de fait, ce sont toujours les mêmes pays qui se trouvent à en bénéficier. On retrouve donc ici, les 10 principaux pays qui exportent ainsi qu'importent à travers le globe terrestre.

À la découverte de la soie!

Le désir de la soie apparaît déjà au alentour du IV siècle avant Jésus-Christ. Ce sont les Romains qui désiraient tant cette matière. Ne connaissant pas le processus de création de cette fibre, ils étaient donc obligés d'effectuer de multiples échanges avec les Chinois pour s'en procurer, car seuls ces derniers connaissaient le réel secret de fabrication. Cet échange avait lieu nul autre que sur la route commerciale entre l'Asie ainsi que l'Europe. Devenant de plus en plus précieuse aux yeux des Chinois puisque cette dernière était l'article qui se vendait le mieux parmi tout ce que l'on retrouvait sur cette route. Cette route est maintenant connue aujourd'hui comme celle de la route de la soie.

Qu'est ce que le commerce ?

Tout d'abord, il est primordial de bien comprendre ce que le mot commerce désigne. Le commerce se veut un échange de biens ou de services entre pays. Cet échange existe depuis déjà quelques siècles, par contre il a évolué au fils des siècles qui se sont écoulés. Tout récemment, il connaît une évolution grâce à la mondialisation des pays en voie de développement.